nomatterhow

c'est fou ce que ça peut paralyser

le ..

je le fais..

je le fais pas?..

ouais parce que quand on se sens seul, quand on en à marre de soi, quand on veut être quelqu'un d'autre, quand on semble incompris..etc.. on y (re)pense  ='(    ='(

se retrouver dans un endroit, où l'on puisse se faire mal autant que l'on veut

se tuer, se tuer, autant de fois que la souffrance le nécessite

et revivre enfin quand elle a disparu.

vivre c'est la trouver belle, la vie.

tu fais comment quand tu ne te sens pas vivre?...

quand tu sens par contre que le temps passe, t'use t'use t'use toujours plus...

que tu enchaines quelques moments de soleil, et coups de pied qui enterrent un peu plus ton coeur dans la terre à chaque fois.

c'est trop "dégoutant", et usant d'aller bien quelques moment et de retomber à chaque fois. pour moi en tout cas. vu qu'on est ici pour parler de moi.

comment je fais maintenant, pour retrouver confiance en la vie du futur, et pour me ressentir vivre?

comment je fais pour dire à mes petites soeurs que je les aimes, alors que je ne le ressens même plus. ne ressens plus rien de vivant, tout comme les sentiments.

comment je fais arrivé à ce carrefour des temps, entre année et année, entre révision d'examens, solitude, amis, mac do, solitude et souffrance, pour ne plus penser que la mort serait peut être ce qui me ferai peut être le plus facilement VIVRE!!!... ='(

oui c'est usant, et encore plus quand on pense à une année comme celle-ci.. de déprime.

Cher Papa Noël,

cet anné chez été sage, alors je voudrai être heureu

Sylvain

on est obligé d'être heureux à noël?..
alors Joyeux Noël

Ici le silence sonne faux,

Les lumières frôlent les murs tamisés, poursuivis par les ombres.

Ici la souffrance tache fort,

J’en ai les mains crochetées au cœur.

Ici les gouttes volent des rêves

A ceux qui ne voient qu’elle.

Ici le monde semble assoupi,

Et tout tourne autour d’un cauchemar qui semble arrêter ma vie.

Ici, comment la vie peut tournée

Autour de ce qui semble mort ?

On m’a cratérisé tout l’être.

Je formerai peut être des étoiles.

Faites que ma souffrance serve à la rencontre

De deux personnes tissées ensemble.

Ici la solitude naît comme elle meurt :

Elle ne disparaît pas.

Ici, les couleurs ne sont plus des mots.

L’amour n’est qu’un avenir promis depuis tant d’années.

Ici la passion mange tout.

Et ne digère rien.

Fatigué à en pleurer.

Fatigué à en pleurer.

Fatigué à en pleurer.

Ici, dort un homme

Qui chute toujours dans ses rêves.

Ici, dort un homme que même ses cauchemars ne pourront plus toucher.

Les yeux seront tombés, le monde sera arrêté.

Et alors on le regardera peut être dormir

Bercé par le sourire de miel

De cette fille du temps

Qui donne son amour.

Et ici, dormira cet homme

Fatigué à en pleurer

Fatigué à en pleurer

Bercé par le sourire de miel

..planté comme un amour.

J’ai perdu trop de gouttes, plantées droit dans le sol, en un seul regard. J’ai tellement fait sauter mes petits pieds sur le pavé dansant, pour rendre la vie plus romantique. J’ai trop arquer vers la lune mes cries tremblants, pour lui dire comme je me détestais. J’espère tellement quelqu’un qui m’épluche de ses mots. Tout est trop mâché autour de moi par une chose que je ne comprends pas. J’ai senti tellement de sourires naître parce que j’avais pu donner. Tout est noire. Tout est faux. Tellement de fois où je me suis fait attaché contre un arbre par mes rêves. J’ai perdu la contemplation de la beauté. J’ai tellement joué de ce qui m’entourait. J’aimerai qu’on me démonte pour quelques temps. J’ai tellement volé de ballons pour  m’essayer à des vols colorés. C’est en me démontant que je deviendrai peut être quelqu’un d’autre, peut être moi. J’ai tellement souhaité retranscrire le plaisir, en tenant une main, ou caressant les pentes d’un nombril. Je ne sais pas quand je me ressentirai vivant. J’aime tellement me déguiser devant les gens pour qu’ils me reconnaissent, même si j’ai toujours le souci qu’ils ne me cherchent pas. J’ai l’impression que ma tête est une lourde massue. La peur de perdre me rend tellement poudreux devant l’amour. Je me sens loin de tout. J’aime tellement jonglé dans la tête des gens avec mes images tout juste soufflées. J’aimerai me convaincre de me tuer, mais je n’y arrive pas, car je ne sais plus ce que c’est de se sentir vivre. Je suis usé à force d’essayer de me rafistoler. Une sorte de marionnette dans la pénombre d’un rideau. Sourions.

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pix yagdi by uniquealim

je suis fatigué d'écrire de parler de moi.. et de toujours ressentir ce truc au fond de moi qui déferle la souffrance et le dégoût.. je suis tellement usé. j'arrive pas à avoir confiance en l'avenir tellement cette souffrance me suis , et repose sur des trucs profonds. comme à chaque fois que je me bats je suis dégouté. je suis obligé de mener ce combat pour notre amitié. Mais une fois que j'aurai réussi je ne sais pas ce qui se passera. je me serai tellement battu pour me prouver  que le monde n'est pas pourri, tellement battu pour qu'elle me considère, et c'est si mesquin.. je ne trouve pas d'autre choix que de faire ça: me battre. mais je crois que le dégoùt m'engloutira après ça, j'ai du me battre, me fatiguer, me dégoûter.. pour en fait faire le travail moi même.. c'est moi qui aura usé de patience, de soumission, de subir des regards si injustes de sa part pour quel comprenne un truc dont j'aurais eu besoin que ça vienne d'elle même (et encore je ne sais pas ce qu'elle à compris). Je sais je parle de façon très abstraite. Je voulais juste dire que je me battais pour me prouver des choses, ce qui n'a en fait pas de sens, car le fait d'avoir du se battre c'est encore plus injuste et dégoûtant pour moi.. c'est pour ça que je suis enfermé dans un sale truc, un sale piège. mais je n'ai pas le choix.... ....

pix "loneliness and sky" by LonelyPierot

Petit passage avant d'aller à mon entrainement.

j'enchaine les noires journées.. je sais plus quoi penser, la tête bourée qui m'empêche de penser, une t^te étouffée de l'intérieur , le dégoût.. le coeur dans la gorge, prêt à vomir. dégoût de tout, dégoût de moi, qui ne sait plus très bien ce qu'il fait, ce qu'il est, ne sais même plus qui est cette chose qui pense à des pensées noires et au suicide, simple comédie?.. des choses se sont passées qui ont sans doute joué. et qui m'ont sans aucun doute engouffré dans mon dégoût.. je ne comprend pas. pourtant je me sentais bien quand je lui parlais hier, l'impression de ne plus être seul, d'être moi. mais je n'ai pas expliqué ce que je voulais expliqué dans le précédent article, et je ne suis pas pret de le faire. alors ne juger peut être pas trop, j'en sais rien ^^
je vous met un petit dessin que j'ai fait en cours tout à l'heure, j'adore  regarder la tête lol.

et puis j'en ai marre que mes cauchemards m'himbibe toue la journée, je déteste cette présence, comme si je n'y pensais plus, mais qu'au fond il était toujours là. je déteste. je déteste ces cauchemars ou je finis la joue dans la terre fraiche, et que je vois ça.. comme une libération. :'(

je déteste passer plus d'un heure à raconter ma vie, à raconter ce qui se passe actuellement avec elle, à raconter ce qu'elle fait, pourquoi je m'"accroche" à elle, pourquoi elle est... etc.. et faire une malheureuse faute de frappe à la fin qui me ramène à la page préscédente et efface tout >_<
et je déteste encore plus écrire deux fois la même chose, surtout des trucs intimes, qui sont là pour te libérer.. seulement quand ils ne sont pas effacés.. _-_ ... et puis pas envie de repasser par les mêmes sensations que lorsque j'avais écrit ce qui a été effacé... pfff quel con!